Luminaires et lampe vintage
Les luminaires vintage structurent l’éclairage en s’appuyant sur des codes visuels issus des décennies passées. Métal patiné, formes géométriques simples, abat-jours en opaline ou bras articulés dessinent une lumière orientée ou diffuse. Chaque luminaire vintage inscrit une source lumineuse dans un vocabulaire formel identifiable. Ils s’intègrent dans un agencement sobre ou contrasté, en créant un point de tension ou de continuité. L’éclairage devient ici un repère spatial autant qu’un outil fonctionnel. lire la suite >
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Lampe suspendue en verre Lacanau
350 Fr. 280 Fr.-20%

Projecteur industriel grisWeissmüller
285 Fr. 230 Fr.-20%

Lampe phare en métal argentéeLaycock
275 Fr. 245 Fr.-10%

Grande suspension en métal argenté Lynce
460 Fr. 415 Fr.-10%
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Double applique en laiton vieilliBistrot
160 Fr. 145 Fr.-10%

Lampe de table en laiton doré Amber
385 Fr. 310 Fr.-20%

Suspension argentée Lynce
345 Fr. 310 Fr.-10%

Liseuse en métal et marbre Mogens
285 Fr. 230 Fr.-20%

Suspension en verre et laiton doréBelno
160 Fr. 130 Fr.-20%

Lampe suspendue en laiton Kapsula
150 Fr. 135 Fr.-10%

Suspension en verre Beatrix
145 Fr.

Suspension en verre Hoonui
350 Fr.

Suspension en verre soufflé Bangor
395 Fr. 355 Fr.-10%

Lampadaire en métal et marbre Mogens
305 Fr. 245 Fr.-20%

Applique argentée Bistrot
110 Fr.

Lampe de table noire Mogens
230 Fr.

Applique Jieldé marteléeLoft
335 Fr. 300 Fr.-10%

Lampadaire JieldéLoft
1145 Fr.
Formes, matières et repères stylistiques
Un luminaire vintage ne désigne pas une époque unique mais un ensemble de références formelles empruntées aux décennies du XXe siècle. Les années 1930 à 1980 constituent le socle principal : lampes à bras articulés, suspensions en métal laqué, opalines soufflées, structures tubulaires ou piétements tripodes. Ces objets se caractérisent par une lisibilité immédiate de la fonction et de la forme, souvent exprimée par des matériaux bruts ou faiblement transformés.
Le métal, dans ses versions peintes, chromées ou patinées, reste central. Il structure le volume, encadre la source lumineuse ou soutient l’abat-jour. Le verre dépoli, l’opaline ou le tissu tendu introduisent une diffusion plus douce. Le bois, parfois utilisé en socle ou en bras, réchauffe l’ensemble sans dominer. La silhouette est identifiable sans être ostentatoire. Le luminaire vintage tient autant de l’outil que de l’objet construit.
Typologies et usages différenciés
Les luminaires vintage couvrent l’ensemble des typologies lumineuses : lampes de table, suspensions, appliques murales, lampadaires à fût central ou bras orientable. Chaque configuration répond à un usage précis, que le vocabulaire formel rend lisible. Une suspension en opaline blanche au-dessus d’une table évoque les années 1950. Une applique orientable en métal peint fait écho aux modèles industriels des années 60 ou aux rééditions scandinaves des décennies suivantes.
Le choix d’un luminaire vintage engage une logique d’usage mais aussi de positionnement spatial. L’abat-jour fermé canalise la lumière sur une zone précise. Le bras orientable libère une surface de lecture. L’abat-jour perforé introduit un jeu d’ombre partiel sur les murs. Ces éléments doivent être choisis en fonction de la hauteur du plafond, de la surface disponible, mais aussi de la circulation dans la pièce. Un luminaire bien positionné produit un éclairage utile, sans créer de gêne visuelle ni de déséquilibre spatial.
Intégration dans un agencement contemporain
Un luminaire vintage peut cohabiter avec un mobilier contemporain si les proportions et la cohérence des lignes sont respectées. Il sert alors de contrepoint, de ponctuation ou de prolongement, selon les cas. Dans un espace dominé par des matières lisses ou industrielles, un lampadaire tripode en bois et métal introduit une variation de texture. Dans un intérieur structuré autour de volumes géométriques, une suspension des années 60 aux lignes courbes permet de rompre la répétition sans dissonance.
La couleur et la matière doivent être choisies avec attention. Le métal noir ou doré s’intègre facilement. Les teintes pastel ou les surfaces vernies nécessitent un ancrage visuel : sol, cadre mural, assise. La lumière émise joue un rôle structurant : blanc chaud pour un usage domestique, lumière neutre pour une zone de travail ou de passage. Il est recommandé de ne pas multiplier les sources vintage dans un même volume restreint, pour éviter la redondance ou l’effet pastiche.
Choisir un luminaire vintage revient à insérer une source de lumière dans une structure visuelle définie. Ce n’est pas une évocation décorative mais un geste d’agencement. Il organise le regard, précise les fonctions et qualifie l’atmosphère, sans jamais imposer de narration extérieure.