Brutalisme
Le Brutalisme met en avant des volumes francs, des structures visibles et des matières laissées apparentes. Cette catégorie regroupe des pièces de mobilier où le dessin géométrique, le poids visuel et la texture brute structurent l’espace. Le béton, le métal et le bois massif y sont employés sans habillage, avec un rôle clairement affirmé. Le Brutalisme introduit une logique d’agencement directe, sans superflu ni dissimulation. Il engage un rapport physique à l’objet, souvent monolithique, qui redéfinit l’équilibre des pièces dans un intérieur. lire la suite >
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Fauteuil en cuir noirRed Baron
1495 Fr. 1045 Fr.-30%

Applique extérieure en métal noir Aix
160 Fr. 125 Fr.-20%

Projecteur industriel grisWeissmüller
285 Fr. 200 Fr.-30%

Table basse en bois Railway
620 Fr. 430 Fr.-30%

Vestiaire à roulettes en bois Midtown
660 Fr. 495 Fr.-25%
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Tabouret en jute tressée beige Arpillera
130 Fr. 95 Fr.-25%

Lampe suspendue en laiton Kapsula
150 Fr. 130 Fr.-15%

Applique extérieure argentée Martinez
160 Fr. 140 Fr.-15%

Table basse en bois Wood Wagon
845 Fr. 720 Fr.-15%

Buffet vintage en métal Timantti
500 Fr. 450 Fr.-10%

Table de repas en bois massif Normandie
1630 Fr. 1140 Fr.-30%

Applique Jieldé marteléeLoft
335 Fr. 300 Fr.-10%

Lampadaire JieldéLoft
1145 Fr.
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Brutalisme : une expression franche des formes et des matières
Le Brutalisme s’appuie sur des éléments constructifs laissés visibles. Cette approche évite les ornements et valorise la fonction à travers des volumes nets, souvent géométriques. En mobilier, cela se traduit par des formes simples, parfois massives, où l’usage structure l’objet lui-même. Les lignes sont droites, les assemblages lisibles, les éléments fonctionnels non dissimulés. Cette mise à nu des structures crée une lecture directe de l’objet : l’assise montre son support, la table son piétement, la matière sa texture. Le Brutalisme introduit une esthétique qui repose sur la clarté formelle et l’absence de décoratif ajouté.
Matériaux et usage dans le mobilier brutaliste
Le Brutalisme privilégie des matériaux bruts, souvent peu transformés. Béton, acier, pierre, bois massif ou contreplaqué structuré définissent l’identité visuelle et tactile des pièces. Ces matériaux engagent un rapport direct à la main et à l’œil. Le béton moulé conserve ses irrégularités, l’acier peut présenter des soudures apparentes, le bois n’est pas nécessairement poncé ou teinté. Ces choix renforcent l’idée d’un mobilier ancré dans sa fonction et son processus de fabrication. Ce type de mobilier est souvent stable, dense et prévu pour durer, mais il demande aussi un positionnement clair dans l’espace en raison de son impact visuel marqué.
Agencement et perception spatiale
Dans un intérieur, les pièces issues du Brutalisme servent souvent de points d’ancrage visuels. Leur volume et leur matière les rendent visibles dès l’entrée dans une pièce. Elles s’intègrent rarement en second plan : elles structurent l’espace et imposent une logique de circulation. Ces meubles peuvent définir un axe, contraindre l’agencement autour d’eux, ou segmenter un volume. Pour éviter les déséquilibres, il est courant de réduire la quantité d’objets secondaires autour d’un meuble brutaliste, afin de laisser l’espace respirer. L’éclairage joue également un rôle dans la lecture de ces objets, en accentuant les arêtes, les ombres portées et les textures de surface.
Adopter une logique brutaliste en mobilier n’implique pas une uniformité totale, mais suppose une hiérarchie claire entre les pièces dominantes et les éléments de support. Cette lecture rigoureuse de l’espace peut renforcer la cohérence d’un agencement sobre et lisible.